Vous avez 10 secondes.
C’est le temps qu’il faut à quelqu’un qui tape votre nom sur Google pour décider si vous êtes sérieux ou amateur. Si vous méritez leur temps ou leur argent. Si vous êtes une opportunité ou juste du bruit.
Dix secondes pour convaincre un investisseur, séduire un média, décrocher un contrat, ou perdre tout ça au profit de quelqu’un d’autre.
Alors, qu’est-ce qui apparaît quand on vous cherche ?
Si la réponse est « un profil Facebook à moitié rempli » ou « mon Instagram personnel », vous venez d’échouer au test. Pas parce que vous n’êtes pas compétent. Mais parce que dans l’économie de l’attention, l’amateur et l’expert se distinguent en une fraction de seconde — et cette distinction s’appelle un site web.
Parlons franchement. Les réseaux sociaux vous donnent de la visibilité. Un site web vous donne de la crédibilité. Ce n’est pas la même chose. L’un vous fait exister. L’autre vous fait respecter.
Quand Aliko Dangote négocie avec des gouvernements, croyez-vous qu’ils vérifient son compte TikTok ? Quand Angélique Kidjo est sollicitée pour une collaboration internationale, pensez-vous que les producteurs scrollent son fil Instagram ? Non. Ils consultent des sites web institutionnels, des portfolios professionnels, des espaces numériques qui respirent l’autorité.
« Votre marque personnelle, c’est ce que les gens disent de vous quand vous n’êtes pas dans la pièce, » disait Jeff Bezos. Mais avant même d’être dans une pièce, les gens vous ont déjà jugé — sur Google. En 53% des cas, selon les données de Google, c’est là que commence leur recherche. Et HubSpot confirme : avoir un site web augmente votre crédibilité perçue de 126%.
Voici le piège dans lequel tombent la plupart des personnalités publiques africaines : Elles construisent leur empire sur du sable mouvant. Instagram peut fermer leur compte demain. LinkedIn peut changer son algorithme. Facebook peut devenir obsolète comme MySpace. Mais un site web ? C’est du béton. C’est permanent. C’est à vous.
Vous n’êtes pas locataire de votre image — vous en êtes propriétaire. Ou du moins, vous devriez l’être.
La vraie question n’est pas « Ai-je besoin d’un site web ? » C’est : « Combien d’opportunités suis-je prêt à laisser filer parce que je n’ai pas pris mon image numérique au sérieux ? »
Le monde ne vous attendra pas. Quelqu’un d’autre, avec moins de talent mais plus de stratégie, est en train de prendre la place que vous méritez. Pendant que vous hésitez, il se positionne. Pendant que vous comptez vos likes, il signe des contrats.
Chez Africa Diligence, nous ne vendons pas des sites web. Nous construisons des forteresses numériques. Des espaces qui ne se contentent pas d’exister — ils imposent le respect. Parce que votre nom mérite mieux qu’une page Instagram noyée dans le flux.
Contactez-nous à ad@africa-diligence.com.
Le test des 10 secondes commence maintenant. Allez-vous le réussir ?
