[Africa Diligence] Selon le South China Morning Post, l’Afrique est la deuxième destination des perruques chinoises, représentant 37 % du marché global, juste derrière la part de marché américaine de 39 %……En 2014, cependant, le marché des «cheveux secs» était estimé à 6 milliards de dollars par an. Bien que les chiffres récents ne soient pas disponibles, les analystes affirment que le marché a explosé depuis
En Afrique, comme dans le reste du monde, les cheveux jouent un rôle important dans la société. Dans l’Afrique ancienne, ils symbolisaient les antécédents familiaux, le statut social, la spiritualité, la tribu, l’état matrimonial et la fertilité. Aujourd’hui, ils continuent d’avoir une signification similaire autour de la richesse et du bien-être. Le commerce des cheveux en Afrique a cependant radicalement changé. Il y a environ une décennie et demie, les cheveux secs – tissages, extensions et perruques – étaient presque inconnues sur le continent.
En 2014, cependant, le marché des «cheveux secs» était estimé à 6 milliards de dollars par an. Bien que les chiffres récents ne soient pas disponibles, les analystes affirment que le marché a explosé depuis. L’Afrique est la deuxième destination des perruques chinoises, représentant 37 % du marché global, juste derrière la part de marché des États-Unis de 39 %.
Dans les relations sino-africaines, l’accent est généralement mis sur les prêts pour les projets d’infrastructure et le commerce des ressources naturelles. Dans une tendance croissante, l’attention se tourne vers la technologie chinoise sur les marchés africains. Mais certains aspects de la culture africaine, y compris sa culture de la coiffure et de la beauté, sont un point de connexion important entre la Chine et l’Afrique qui est rarement discuté.
La Chine est le plus gros exportateur (vidéo) de produits capillaires au monde. Selon le South China Morning Post, l’Afrique est la deuxième destination des perruques chinoises, représentant 37 % du marché global, juste derrière la part de marché américaine de 39 %.
Ce sont des marques de perruques populaires produites par Henan Rebecca, une société basée dans la province centrale du Henan en Chine. Les cheveux sont une grosse affaire en Afrique, où l’on dit que les gens dépensent jusqu’à six milliards de dollars américains par an en perruques, tissages et tresses. « L’Afrique est un énorme marché, la culture est différente. Les femmes africaines aiment être belles, le marché est intéressant et passionné », explique Zheng Guihua, directrice générale de l’entreprise.
La Rédaction (avec Intellivoire.net et LB)
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